Paroisse Sainte Kateri Tekakwitha

Diocèse de Tours

  • ...

 vendredi, 1ère Semaine du Temps Ordinaire

S. Antoine, Abbé

Mémoire

Fêtes mariales
Notre-Dame de Pontmain


La France est en guerre avec la Prusse et les troupes françaises sont en déroute. 
Vers 17h30, le 17 janvier 1871 dans le petit village de Pontmain en Mayenne, à 50 km de Laval, le petit Eugène Barbedette (13 ans) sort de la grange de sa famille pour voir le temps qu’il fait. 
Il lève les yeux et voit une Belle Dame habillée tout en bleu au-dessus de la maison d’en face. Sur sa robe, des étoiles scintillent. Elle le regarde en souriant, silencieuse. Son frère Joseph (11 ans) sort à son tour est voit aussi la Belle Dame. Les adultes ne voient rien. 
Les gens commencent à se rassembler. Deux autres enfants, Françoise Richer (11 ans) et Jeanne-Marie Lebossé (9 ans), arrivent et s’écrient « Oh ! La belle Dame ! Qu’elle est belle ! » Des villageois arrivent. Trois autres enfants plus jeunes déclarent voir eux aussi la Belle Dame. 
La foule se met à prier. Une inscription apparaît aux pieds de la Vierge : « Mais priez mes enfants, Dieu vous exaucera en peu de temps. » Et plus tard : « Mon Fils se laisse toucher. » 
Bientôt un crucifix rouge apparaît avec les mots Jésus Christ. Lorsque cette croix disparaît, deux autres apparaissent. Elles sont blanches, une sur chaque épaule. À 21h, l’apparition s’estompe. Les gens rentrent chez eux heureux. 
Sept jours plus tard, l’armistice est signé avec les Prussiens qui ne sont jamais arrivés à Laval. 
Le 2 février 1872, juste un an après l’apparition, l’évêque de Laval, Mgr Casimir Wicart reconnaît officiellement les apparitions et autorise les pèlerinages.  
Moines & moniales
Saint Antoine le Grand


Antoine est un jeune propriétaire terrien en Égypte, tourmenté par la question du salut. Un jour qu’il lit la bible, il comprend l’évangile du jeune homme riche comme un appel personnel à la pauvreté (Matthieu 19, 16-30). Il donne tout ce qu’il possède aux pauvres et se retire dans le désert. Il vit seul pendant 20 ans avant que d’autres religieux le rejoignent. Une petite communauté se forme autour de lui, à laquelle il enseigne : “Efforçons-nous de ne rien posséder que ce que nous emporterons avec nous dans le tombeau, c’est-à-dire la charité, la douceur et la justice.” Il meurt à un âge très avancé et devient le patron de tous les moines.
Saint Antoine le Grand, priez pour nous et soutenez les religieux et les religieuses dans leurs combats spirituels.